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APPEL & PETITION * PLEASE SIGN TO HELP ALGERIAN AGAINST A DICTATOR REGIME. [boodskap #54725] Di, 18 Desember 2001 17:02 na volgende boodskap
Droit et Justice  is tans af-lyn  Droit et Justice
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ps : your signature can help to fight against a dictator regime in the world and their support.


Let's us together beat the Guiness and world's record of signatures AGAINST the dictators and their support in the world.


If EU sign a "contrat d'association" with the military regime in Algeria EU must accept a million of refugees from algeria flying for their life.


APPEL et PETITION

à l'occasion de la signature du contrat d'association entre la CE et l'Algérie

L'Algérie après le 11 septembre :
et les droits de l'homme ?

15 décembre 2001

pour signer : accor...@algeria-watch.org

" Les dictatures ne se sont jamais aussi bien portées dans le monde depuis le 11 septembre. " C'est en arrivant en exil à Paris, le 8 décembre dernier, après des années de persécutions, que l'opposant tunisien Moncef Marzouki a prononcé cette phrase brutale (Le Monde, 11 décembre 2001). Évoquant les compliments appuyés adressés par le président français à M. Ben Ali lors de sa visite express dans les trois pays du Maghreb, M. Marzouki a ajouté : " Il serait grand temps que M. Chirac et tous les dirigeants occidentaux comprennent que ce qui leur fait le plus peur - l'émigration et le terrorisme - est la conséquence directe de la dictature et de la corruption. "

M. Marzouki parle d'expérience, celle de son pays. Mais son propos, à l'évidence, vise plus large. Et comment ne pas le citer à l'heure où l'Union européenne signe, le 19 décembre, un " accord d'association " avec l'Algérie ? Le 12 avril 1995, la Tunisie avait été le premier État du Maghreb à signer un accord économique et politique de ce type avec Bruxelles : cet accord a été depuis, pour le général Zine el-Abidine Ben Ali, le principal sauf-conduit qui lui a permis impunément de faire de son pays une " si douce dictature " (selon les mots du journaliste Taoufik Ben Brik).

Citoyens des deux rives de la Méditerranée, nous ne nous accommodons toujours pas de cette complicité. Et nous refusons que le même procédé serve aujourd'hui à donner carte blanche aux généraux qui, depuis dix ans, ont plongé l'Algérie dans un tourbillon d'horreur sans fin, pour pouvoir continuer à empocher chaque année les milliards de francs de commissions clandestines qu'ils prélèvent sur les flux d'importation et d'exportation.

Il est clair que ces considérations n'ont jamais figuré dans l'" agenda " des négociateurs de Bruxelles. Tout au long de ces années de discussions préparatoires avec la partie algérienne, ils ont préféré " faire comme si… ". Comme si les gouvernements successifs issus depuis 1992 de coups de force ou d'élections truquées représentaient authentiquement la démocratie algérienne. Comme si la lutte contre les groupes armés islamistes, à quelques " bavures " près, avait été menée avec les armes du droit. Comme si l'économie algérienne était une économie " normale ", susceptible d'être dynamisée par cet accord d'association en facilitant son intégration dans le commerce mondial.

Mais nul ne doute que les technocrates de Bruxelles, comme les gouvernements de l'Union au nom desquels ils négocient, savent parfaitement à quoi s'en tenir. Ils savent que leurs interlocuteurs " officiels " ne sont que les figurants d'une " Algérie Potemkine ", façade présentable construite et constamment contrôlée par les généraux du " cabinet noir ". Ils savent que l'état d'urgence, reconduit chaque année illégalement depuis 1992, permet de régenter la société à coup de décrets liberticides, mais que le gouvernement se révèle incapable de réagir à une inondation catastrophique dans sa capitale. Ils savent que la violence qui, depuis dix ans, a fait plus de 200 000 morts, plus de 10 000 disparus, des millions de blessés, d'orphelins et de déplacés (et plus de 500 000 exilés), doit sans doute autant aux exactions des groupes armés islamistes qu'à la " sale guerre " menée par le DRS (ex-Sécurité militaire) et les " forces spéciales " de l'armée. Et que la torture généralisée et le mitraillage des manifestants, comme on l'a vu encore en 2001 en Kabylie, est la norme pour le " maintien de l'ordre ". Ils savent que, depuis trois ans, les dizaines d'assassinats et d'égorgements comptabilisés chaque mois dans l'indifférence générale sont, pour l'essentiel, le fait d'" escadrons de la mort " et de bandes armées contrôlées ou manipulées par les " décideurs ". Ils savent aussi que, à la faveur de la " concorde civile " du président Bouteflika, des milliers de criminels " repentis " descendus des maquis n'ont fait l'objet d'aucun jugement et que nombre d'entre eux ont été intégrés aux " services de sécurité ", dont beaucoup étaient d'ailleurs issus (des agents doubles, " islamistes de l'armée ").

Ils savent, enfin, que l'économie algérienne est sinistrée, au-delà de l'entendement : plus de la moitié des jeunes sont sans emploi, les familles s'entassent dans des bidonvilles ou des logements de misère (où l'on doit dormir par roulement), l'eau du robinet n'est plus disponible, pour la majorité, que quelques heures par semaine. L'essentiel des biens de consommation courants est importé, les industries produisant pour le marché local sont en ruines, et la " privatisation " des entreprises publiques est une sinistre farce. La corruption, du haut en bas du corps social, reste le dernier ciment, pervers, d'une économie informelle qui permet au plus grand nombre de survivre difficilement et à une infime minorité de s'enrichir scandaleusement.

Et pourtant, Bruxelles négocie et souhaite " s'associer " à l'Algérie des généraux. Deux raisons, cyniques et brutales, à cela. Une raison " stratégique " : ce pays est un fournisseur essentiel de plusieurs États de l'Union européenne pour le gaz et de pétrole (le seul secteur économique qui fonctionne, représentant 97 % des recettes d'exportation, source première des commissions qui nourrissent les " décideurs " et, sans doute, des " rétrocommissions " dont bénéficient depuis des années certains de leurs obligés en Europe). Et une raison " idéologique " : face au " péril islamiste ", mieux vaut soutenir des militaires notoirement corrompus et sanguinaires (c'est la " doctrine Nixon " : " C'est un fils de pute, mais c'est notre fils de pute ", appliquée au cas du dictateur chilien Pinochet).

Depuis dix ans, les généraux rentiers d'Alger ont parfaitement su jouer de ce cynisme pour obtenir, dans leur guerre contre le peuple algérien, le soutien politique et économique qu'ils attendaient de la communauté internationale, de l'Union européenne et de la France, laquelle donne le " la " au niveau mondial sur ce " dossier " (car tout se passe comme si, aux yeux des États démocratiques occidentaux, l'Algérie restait, quarante ans après son indépendance, une " affaire intérieure " française). Et après les tragiques événements du 11 septembre, ils ont forcé leur avantage, comme l'a souligné sans détour le général-major Mohamed Touati, conseiller à la présidence de la République, souvent considéré comme le " cerveau " du " cabinet noir " : " Ce que je souhaite en ces circonstances, c'est qu'elle [l'Algérie] puisse détromper l'opinion internationale qui a été abusée par des sources liées au terrorisme international et au terrorisme qui sévit en Algérie, notamment sur la réalité de ce qui s'y déroule " (El Watan, 27 septembre 2001). Propos redoublés par ceux d'un " haut responsable " algérien : " Le contexte international est en notre faveur, nos demandes, notamment en matière de lutte antiterroriste, sont aujourd'hui admises et comprises " (Le Quotidien d'Oran, 9 décembre 2001).

C'est dans ce contexte que s'inscrit la signature, le 19 décembre, de l'accord d'association entre l'Union européenne et l'Algérie. Il est significatif, à nos yeux, que celui-ci fasse l'impasse sur le " renforcement de la démocratie et le respect des droits de l'homme " (pourtant considéré comme l'un des engagements essentiels de la fameuse " déclaration de Barcelone " adoptée lors de la conférence euro-méditerranéenne de novembre 1995, signée aussi bien par l'Algérie que par les États-membres de l'Union européenne). Nous refusons qu'au nom des impératifs de la lutte antiterroriste, l'accord d'association puisse couvrir la violation, par les États signataires, des libertés publiques, comme le laissent craindre les récentes expulsions, illégales, vers l'Algérie de citoyens algériens résidents en Europe.

Citoyens des deux rives, nous partageons la même conviction: la lutte légitime contre les criminels responsables du 11 septembre ne saurait en aucune façon justifier le soutien aux autocrates qui contribuent à les fabriquer. Nous savons que l'accord du 19 décembre ne pourra être effectif avant que le Parlement européen et les parlements des États concernés le ratifient. Du Parlement algérien actuel, élu par la fraude, nous n'attendons rien. En revanche, nous demandons instamment aux parlementaires européens de ne pas ratifier cet accord économique sans exiger qu'il respecte la " déclaration de Barcelone ". Et, dans l'immédiat, de se mobiliser pour obtenir la satisfaction d'exigences élémentaires : que le gouvernement algérien lève l'état d'urgence et assure la liberté d'association et d'expression de la société civile ; qu'il accueille les rapporteurs spéciaux de l'ONU sur la torture et les disparitions forcées ; qu'une commission d'enquête internationale impartiale puisse aller sur place pour établir les responsabilités dans les violations des droits de l'homme, d'où qu'elles viennent ; et que soit, enfin, constitué un tribunal pénal international ad hoc, qui aura à juger les responsables, qu'il s'agisse de terroristes islamistes ou d'acteurs du terrorisme d'État.

Parmi les 70 premiers signataires de ce texte :

Algérie :Lahouari Addi, Sociologue; Omar Benderra, consultant ; Sofiane Chouiter, avocat ; Ghazi Hidouci, économiste ; Mahmoud Khelili, avocat ; Salah-Eddine Sidhoum, chirurgien ; Brahim Taouti, avocat ; Tassadit Yacine, anthropologue.

Allemagne : Werner Ruf, politologue, Peter Strutynski, politologue

Belgique : Jeanne Kervyn, sociologue.

Espagne: Gema Martín Muñoz, sociologue.

France : Patrick Baudouin, avocat, président d'honneur de la FIDH ; François Burgat, politologue, CNRS ; Hélène Flautre, députée européenne ; François Gèze, éditeur ; Gustave Massiah, économiste ; Véronique Nahoum-Grappe, anthropologue ; Bernard Ravenel, enseignant ; Pierre Vidal-Naquet, historien ; Gilbert Wasserman, revue Mouvements.

Italie : Anna Bozzo, historienne ; Ferdinando Imposimato, avocat.

Royaume-Uni : William Byrd, économiste.

Suisse : Marie-Claire Caloz-Tschopp, enseignante et chercheur.

Signer : accor...@algeria-watch.org

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Liste complète et signatures:

Algérie
Lahouari Addi, Sociologue
Larbi Alili, chercheur universitaire.
Omar Benderra, consultant.
Karim Boughida, Information Architect, Los Angeles.
Mostafa Brahami, universitaire, Lausanne.
Sofiane Chouiter, avocat, membre du Comité directeur de la Commission arabe des droits humains.
Safia Fahassi, professeur d'anglais et défenseur des droits de l'homme.
Ali Haouchine, politologue,
Ghazi Hidouci, économiste.
Amina Kadi, enseignante et chercheur en mathématiques.
Mahmoud Khelili, président du Syndicat national des avocats, militant des droits de l'homme.
Malika Khier Manai,
Salima Mellah, journaliste.
Arezki Sadat, journaliste au quotidien Zycie, Varsovie (Pologne).
Yahia Sahraoui, technicien.
Salah-Eddine Sidhoum, chirurgien, militant des droits de l'homme.
Brahim Taouti, avocat.
Tassadit Yacine, maître de conférences à l'EHESS.

Allemagne
Werner Ruf, professeur de sciences politiques à l'université de Kassel.
Dr. Peter Strutynski; professeur de sciences politiques à l'université de Kassel

Belgique
Dr Guy Kervyn,
Jeanne Kervyn, sociologue
Herman de Ley, helléniste, université de Gand.
Marie-Blanche Tahon, professeure à l'Université d'Ottawa.
Armand Veilleux, abbaye de Scourmont.

Espagne
Ana Lafuente, directrice éditoriale de Ediciones B.
Gema Martín Muñoz, professeur de sociologie du monde arabe, Université autonome de Madrid.

France
Rabha ATTAF, journaliste, France
Mohand ALILI, Président de la Fondation musulmane Errahmanîya.
Jean-Yves Barrère, économiste.
Patrick Baudouin, avocat, président d'honneur de la FIDH.
Paul Bonnenfant, sociologue, directeur de recherche au CNRS, spécialisé dans la sociologie du monde arabe actuel.
François Burgat, politologue, CNRS (Sanaa).
Jean-Charles Cabanel, xxx
Jocelyne Cesari, sociologue, CNRS, professeur invité à Harvard University.
Albano Cordeiro, économiste, sociologue, CNRS.
Monique Crinon, philosophe.
Bernard Dréano, président du Cedetim.
Hélène Flautre, députée européenne.
Bertrand Foly, comédien, France
François Gèze, directeur des éditions La Découverte.
Gustave Massiah, économiste.
Véronique Nahoum-Grappe, Anthropologue,(CETSAH, EHESS-CNRS)
Pierre Vidal-Naquet, directeur d'études à l'EHESS.
Gilbert Wasserman, rédacteur en chef de la revue Mouvements

Italie
Annamaria Artiaco, Ispettrice scolastica---ITALIA
Belcastro Alessandro, ricercatore universitario...ITALIA
Anna Bozzo, historienne.
Chiara Imposimato, magistrate
Ferdinando Imposimato, avocat, président adjoint honoraire de la Cour suprême de cassation.

Royaume-Uni
William Byrd, économiste
Alison Pargeter, Research Fellow, Kings College, University of London

Suisse
Jugurtha Aït-Ahmed, journaliste
Ahmed Benani, Politologue
Marcel Bosonnet, avocat, Zürich
Michel Bühler, chanteur, écrivain.
Marie-Claire Caloz-Tschopp, enseignante et chercheur, Université de Genève.
Pierre Guérini, Conseiller Municipal de la Ville d'Onex, Genève, Suisse Vice-président du Parti socialiste cantonal genevois, membre de la déclaration de Berne
Pascal Holenweg, politologue, Genève
Christiane Jaquet-Berger, députée, ancienne conseillère nationale, présidente du Parti suisse du travail (POP).
Anne-Catherine Menétrey-Savary, Conseillère nationale, 1071 St.Saphorin (Suisse)
Kanyana Mutombo, rédacteur en chef de la revue africaine Regaf
David Payot,
Carla Ruta, étudiante, Genève , Suisse
Jean-Pierre THOREL, Secrétaire général du Conseil Economique et Social, Genève
Maya Vollenweider Cunha Esteves, Genève, Suisse

Tunisie
Sihem Ben Sedrine, journaliste, éditrice
Ahmed Manai, économiste
Mondher Sfar, collectif de la Communauté tunisienne en Europe.

Autres Signataires
Adel Abdelhaoui Consultant informatique
Henri Bacry, professeur émérite à l'Université de la Méditerranée.
Elena Baldassarri, étudiante.
Antonio Calabria, historien, San Antonio, Texas, USA
Harry Forster, traducteur
Nathalie Fustier, New York.



algeria-watch en francais
Re: APPEL & PETITION * PLEASE SIGN TO HELP ALGERIAN AGAINST A DICTATOR REGIME. [boodskap #54727 is 'n antwoord op boodskap #54725] Di, 18 Desember 2001 17:30 Na vorige boodskapna volgende boodskap
Arthur  is tans af-lyn  Arthur
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"Droit et Justice" schreef ...
>
> Let's us together beat the Guiness and world's record of signatures AGAINST the
> dictators and their support in the world.

Goed, ek is ook teen diktators!

> If EU sign a "contrat d'association" with the military regime in Algeria EU must
> accept a million of refugees from algeria flying for their life.

Hmm, dit klink vir my as blackmail. Het hulle nie reeds vergelykbare bande
met die andere Islamitiese landen nie? Waarom het die miljoen vlugtelinge
nie lankal daar toe gevlug nie?

Ek dink die risiko is groter dat so'n vlugtelingestroom daar sal wees as die
alternatief vir die huidige militaire regering 'n middeleeuse teokrasie blyk
te wees ...

Groete,
Arthur
Re: APPEL & PETITION * PLEASE SIGN TO HELP ALGERIAN AGAINST A DICTATOR REGIME. [boodskap #54730 is 'n antwoord op boodskap #54725] Di, 18 Desember 2001 21:18 Na vorige boodskapna volgende boodskap
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Hélà!

Ne pouvez-vous pas écrire votre texte en africain, s'il vous plaît?
Ça ne sert à rien de parler le français ici. On ne va pas vous
comprendre!!

Norbert (de Flandre)
------------------------------------------------------------ -------------------------------------------
Hè, daar!

Kan jy dalk nie n' bietje in Afrikaans skryf, asseblief? Daar is
weliswaar mense in Suid-Afrika wat jou gaan verstaan, maar
dis nie die meerderheid nie!

Norbert (uit Vlaanderen)
------------------------------------------------------------ --------------------------------------------

Zeg eens!

Is dit jouw gewoonte om zomaar overal met jou Frans met de
deur in huis te vallen? Dit heb je zeker bij ons in België geleerd?

Norbert (uit Vlaanderen)

------------------------------------------------------------ --------------------------------------------

"Droit et Justice" schreef:

> This is a multi-part message in MIME format.
>
> ------=_NextPart_000_03DB_01C187EE.36F6E180
> Content-Type: text/plain;
> charset="Windows-1252"
> Content-Transfer-Encoding: quoted-printable
>
> ps : your signature can help to fight against a dictator regime in the =
> world and their support.
<knip>
Re: APPEL & PETITION * PLEASE SIGN TO HELP ALGERIAN AGAINST A DICTATOR REGIME. [boodskap #54735 is 'n antwoord op boodskap #54730] Wo, 19 Desember 2001 02:44 Na vorige boodskapna volgende boodskap
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Norbert - die mannetjie het die fout hemaak om aan te neem die wêreld
verstaan Frans.
Skryf tog vir hom en vra hom om vir ons die stuk in Afrikaans te vertaal
sodat ons kan weet waarvan hy praat:))
Annette

message news:3c1fac8d.12960672@news.online.be...
> Hélà!
>
> Ne pouvez-vous pas écrire votre texte en africain, s'il vous plaît?
> Ça ne sert à rien de parler le français ici. On ne va pas vous
> comprendre!!
>
> Norbert (de Flandre)
> ------------------------------------------------------------ -------------- -----------------------------
> Hè, daar!
>
> Kan jy dalk nie n' bietje in Afrikaans skryf, asseblief? Daar is
> weliswaar mense in Suid-Afrika wat jou gaan verstaan, maar
> dis nie die meerderheid nie!
>
> Norbert (uit Vlaanderen)
> ------------------------------------------------------------ -------------- ------------------------------
>
> Zeg eens!
>
> Is dit jouw gewoonte om zomaar overal met jou Frans met de
> deur in huis te vallen? Dit heb je zeker bij ons in België geleerd?
>
> Norbert (uit Vlaanderen)
>
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>

Re: APPEL & PETITION * PLEASE SIGN TO HELP ALGERIAN AGAINST A DICTATOR REGIME. [boodskap #54776 is 'n antwoord op boodskap #54735] Wo, 19 Desember 2001 21:22 Na vorige boodskapna volgende boodskap
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"Annette" schreef:

> Norbert - die mannetjie het die fout hemaak om aan te neem die wêreld
> verstaan Frans.
> Skryf tog vir hom en vra hom om vir ons die stuk in Afrikaans te vertaal
> sodat ons kan weet waarvan hy praat:))
> Annette
>
>
Hallo, Annette,

Hm.., ek dink dit gaan glad nie help nie! Ek ken hierdie soort mense
al lank. Hy praat waarskynlik heeltemal geen Afrikaans nie en waar sou
hy mense kan gaan vind wat hom daarby gaan help? Waarskynlik
nêrens! Franssprekendes is nie baie goed in vreemde tale nie, veral as
dit Germaanse tale wees. Frans is nog steeds 'n sterke wetenskaplike
taal maar die belang daarvan in die wêreld is al lank verbygestrewe
deur die Engels. Daar is baie Franssprekendes wat dit nog nie altyd
begryp het nie.
Ek verstaan eintlik nie waarom hy se artikel op hierdie nuusgroep
geplaas het. Maar dis duidlik dis slegs 'n politiek agitator. Hy
verwag van ons steun om bepaalde ekonomiese verdrae wat tussen
Europa en Algerye bestaan deur petisies en handtekenings te
bekritiseer omdat Europa te laks sou wees teenoor die regering van
die land. Hy sê hulle is diktators wat die geld van die ekonomie in
hulle eie sak steek en die gewone mense laat honger ly. Ja, dis
natuurlik wel moontlik maar laat ons nie vergeet nie dis nie so lank
gelede nie dat baie Wes-Europeërs daar in Algerye is vermoor
geword deur dieselfde mense waarvoor hierdie skryver nou om steun
smeek. Ek vind in hierdie omstandighede moet hulle maar hulle eie
boontjies uitdop!

Die beste groete van

Norbert (uit Vlaanderen)
Re: APPEL & PETITION * PLEASE SIGN TO HELP ALGERIAN AGAINST A DICTATOR REGIME. [boodskap #54778 is 'n antwoord op boodskap #54776] Wo, 19 Desember 2001 21:31 Na vorige boodskap
Annette  is tans af-lyn  Annette
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Dankie Norbert.
Jy weet natuurlik die drakie in Harry Potter word ook Norbert genoem?
Te cute vir woorde;))
Annette

*Sterrenkijker* skryf in boodskap news:3c210426.10225880@news.online.be...
> "Annette" schreef:
>
>> Norbert - die mannetjie het die fout hemaak om aan te neem die wêreld
>> verstaan Frans.
>> Skryf tog vir hom en vra hom om vir ons die stuk in Afrikaans te vertaal
>> sodat ons kan weet waarvan hy praat:))
>> Annette
>>
>>
> Hallo, Annette,
>
> Hm.., ek dink dit gaan glad nie help nie! Ek ken hierdie soort mense
> al lank. Hy praat waarskynlik heeltemal geen Afrikaans nie en waar sou
> hy mense kan gaan vind wat hom daarby gaan help? Waarskynlik
> nêrens! Franssprekendes is nie baie goed in vreemde tale nie, veral as
> dit Germaanse tale wees. Frans is nog steeds 'n sterke wetenskaplike
> taal maar die belang daarvan in die wêreld is al lank verbygestrewe
> deur die Engels. Daar is baie Franssprekendes wat dit nog nie altyd
> begryp het nie.
> Ek verstaan eintlik nie waarom hy se artikel op hierdie nuusgroep
> geplaas het. Maar dis duidlik dis slegs 'n politiek agitator. Hy
> verwag van ons steun om bepaalde ekonomiese verdrae wat tussen
> Europa en Algerye bestaan deur petisies en handtekenings te
> bekritiseer omdat Europa te laks sou wees teenoor die regering van
> die land. Hy sê hulle is diktators wat die geld van die ekonomie in
> hulle eie sak steek en die gewone mense laat honger ly. Ja, dis
> natuurlik wel moontlik maar laat ons nie vergeet nie dis nie so lank
> gelede nie dat baie Wes-Europeërs daar in Algerye is vermoor
> geword deur dieselfde mense waarvoor hierdie skryver nou om steun
> smeek. Ek vind in hierdie omstandighede moet hulle maar hulle eie
> boontjies uitdop!
>
> Die beste groete van
>
> Norbert (uit Vlaanderen)
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